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    ¢Clarissa-Watson-unsplash

    Serge Ferrari sécurise la surface de ses toiles contre le Covid-19

    Des membranes composites capables de réduire la charge virale des coronavirus à hauteur de 95% après un quart d’heure de contact, et près de 99,5% après une heure : c’est la promesse faite par le groupe Serge Ferrari et son service R&D. Une nouvelle solution barrière qui a reçu l’agrément du laboratoire Virhealth.

     

    Depuis sa création en 1973, le groupe Serge Ferrari fournit à ses clients ses matériaux composites souples dans le cadre de nombreuses crises sanitaires liées ou non à des catastrophes naturelles pour la création d’hôpitaux de campagne complets, de camps humanitaires, la fabrication de séparations et box médicaux, combinaisons de protection, matelas nettoyables.

    Les technologies développées par le groupe permettent d’améliorer les conditions et les espaces de travail des professionnels de la santé et de répondre ainsi plus efficacement aux enjeux des crises sanitaires. Utilisées dans le monde entier, elles ont fait leurs preuves aux côtés de l’OMS ou de Médecins sans Frontières, dans le cadre de situations d’urgence, en Afrique notamment lors de la l’épidémie de maladie à virus Ebola.

    Dans le cadre de la lutte contre l’épidémie de coronavirus, le fabricant annonce aujourd’hui avoir développé et breveté une technologie destinée à ses membranes composites pour réduire la charge virale des coronavirus à hauteur de 95% après un quart d’heure de contact, et près de 99,5% après une heure de contact, par rapport à une membrane non-traitée.

    Appliquée sur les membranes, cette technologie pourrait, associée aux autres mesures de prévention sanitaire, contribuer à sécuriser les surfaces dans les lieux recevant du public ou à forte fréquentation tels que les établissements de santé, écoles, crèches ou encore les bureaux, commerces, espaces culturels et de loisirs ainsi que les transports en commun.

     

     

    ©serge-Gerrari_membrane-anti-Covid_web

     

    UNE TECHNOLOGIE À BASE DE PARTICULES D’ARGENT

     

    C’est en se basant sur les propriétés des particules d’argent que les équipes R&D de Serge Ferrari ont développé cette technologie. L’idée : empêcher les toiles de devenir des surfaces de propagation de virus ou de bactéries et contribuer ainsi à réduire le risque et la vitesse de contamination.

    « Ce sont les propriétés antivirales de l’argent que nous avons identifiées et utilisées pour développer des formulations innovantes appliquées à nos membranes » souligne Philippe Espiard, directeur R&D du groupe Serge Ferrari.

    Testée par le laboratoire Virhealth, spécialisé dans les applications virucides des technologies de décontamination/désinfection, cette nouvelle technologie doit permettre à l’industriel de proposer des toiles aux propriétés antivirales, pour des applications dans le domaine de la santé. Au-delà de ces usages, elle pourrait également être appliquée dans les lieux recevant du public ou à forte fréquentation tels que les écoles, crèches ou encore les bureaux, commerces, cafés-hôtels-restaurants, dans l’événementiel et jusqu’aux transports en commun.