Toujours pas abonné ?

Soyez inspiré en recevant tous les trimestres le magazine des Industries Créatives

Connexion abonnés

Mot de passe perdu ?

The Point Newsletter

    Sed ut perspiciatis unde omnis iste natus error.

    Follow Point

    Commencez à taper votre recherche ci-dessus et appuyez sur 'Entrer' pour lancer la recherche. Appuyez sur 'Echap' pour annuler.

    Astelia : la dermo-cosmétique personnalisée

    Laboratoire dermo-cosmétique basé à Manosque, Astelia s’est fait connaître en 2019 avec sa gamme de solutions hydro-alcooliques et anti-moustiques parfumées Bodyguard. Avec ses multiples références, parfois produites en éditions limitées, le laboratoire s’est naturellement tourné vers l’impression numérique pour éditer ses étiquettes.

     

     

    Associant le monde de la santé à celui du bien-être, le laboratoire Astelia fabrique des produits qui parfument et protègent à la fois, comme ses solutions anti-moustique et hydroalcooliques Bodyguard. Une marque, lancée en 2019, qui a contribué à la renommée d’Astelia, d’autant plus en cette année de crise sanitaire. Avec huit produits, en huit contenances différentes, la gamme Bodyguard comprend au total 48 références, soit autant d’étiquettes à réaliser. « Nous imprimons entre 500 et 25 000 étiquettes selon les références, explique Stéphanie Venier-Dargent, co-fondatrice du laboratoire Astelia. Aujourd’hui, grâce à l’impression numérique, nous pouvons réaliser des étiquettes graphiques en petites séries, à coût raisonnable et dans des délais très courts, chose impensable en imprimerie traditionnelle où, pour moins de 3 000 tirages, le cout était prohibitif ».

     

    ENNOBLISSEMENT NUMÉRIQUE

    Au-delà du coût, la dirigeante retient également la souplesse apportée par les systèmes d’impression numérique. « L’avantage du numérique est que l’on peut apporter toutes les modifications que l’on souhaite à chaque tirage en direct et en ligne. La réglementation en matière d’étiquetage change très souvent, donc c’est un réel avantage, poursuit Stéphanie Venier-Dargent. Sans parler de l’ennoblissement, comme la dorure à chaud ou le vernis, qui peut dorénavant être réalisés en numérique, avec une qualité quasi similaire aux procédés traditionnels ».

    Visuels © Astelia

    Journaliste diplômée de l’Institut de la Communication et des Médias (Grenoble) et de l’Université Jean Moulin (Lyon), Emmanuelle Hebert a exercé dans les secteurs de la presse et de la communication. Elle travaille depuis 2017, comme indépendante, en conseil éditorial et collabore depuis deux ans avec IC Le Mag.